Bien sûr, je ne parle surtout pas des moments où tout va bien, à peu près, ou quand les circonstances sont d'une médiocrité tolérable. Je parle de ceux, au contraire, où ça ne va pas, quand nos engagements ne sont pas tenus, quand nous nous sentons trompés, malchanceux, ou simplement au seuil du précipice.

Ce n'est qu'à cet instant que j'aurai vraiment le droit d’être fier de moi.