Magazine Livres

Jarl Alexandre Alé de Basseville plante les graines pour une révolution sociale, politique et géopolitique à l’échelle mondiale

Par Dedicaces @Dedicaces

Lors de son adolescence, il a eu beaucoup des difficultés parce que son monde lui semblait sans espoir, sans futur. Il souffrait tellement de cela lui apportait durant des années " une folle envie de [se] suicider ". Pendant cette période, il se sentait tout à fait affaibli. L'art lui donnait de la confiance, du plaisir, peut-être même un sentiment de paix - et, par contre, l'orgueil aussi.

Lorsqu'il avait 15 ans, il a commencé à étudier les bases du Pop Art sous l'égide d'Andy Warhol. Il a étudié cet art sous ses différentes formes : la filmographie, la sculpture, la peinture et la photographie. Enfin, à l'âge de 17 ans, il est parti étudier dans une école d'art à Milan. Là, il a rencontré Lucchi Renato Chiesa, un grand peintre surréaliste.

À 18 ans, les peintures de Basseville ont attiré l'attention du monde lorsqu'elles ont été mises en exposition par son agent new-yorkais. Grâce à ses tableaux et à ses photo, sa renommée continuait de croître au fil des années ; ses oeuvres d'art ont été reconnues par le Metropolitan Museum de New York et par plusieurs magazines de mode, de même que par les experts.

De Basseville a commencé à travailler avec la styliste et modéliste Claude Montana. Dans ses œuvres, il faisait de l'expérimentation avec des nouvelles techniques ; par exemple, il essayait de peindre sur cuir. De Basseville a réussi avec cette méthode. Il créait même des sculptures au médium de tissu. Par la suite, De Basseville travaillait avec plusieurs groupes d'art ; certains parmi eux étaient des groupes français, tandis que les autres étaient des groupes internationaux. Avec ses institutions, il occupait le rôle de directeur artistique et de création.

Au début des années 2000, de Basseville est parti à l'étranger encore une fois : il est parti vivre à Los Angeles. Ici, il a fondé un studio de photo, au sein duquel il travaillait comme directeur artistique. C'est aux États-Unis qu'il a rencontré Rosanna Arquette, actrice et directrice américaine. Ils sont devenus amis et, ensemble, ils ont co-produit Searching for Debra Winter, un film documentaire dans lequel les actrices parlaient des difficultés qu'elles ont rencontrées à cause de leur sexe. Aujourd'hui - bien qu'il y a beaucoup de distance entre eux - ils se considèrent les meilleurs des amis. De Basseville a rencontré beaucoup d'autres vedettes au cours de sa vie à Los Angeles, parmi eux Salma Hayek, Brad Pitt et Jane Fonda.

Aujourd'hui, de Basseville est bien connu pour ses œuvres caritatives. Il joue un rôle important dans la lutte contre le SIDA depuis qu'il a 19 ans. Notamment, il a créé des happenings de peinture (des instances de l'expression artistique inattendue dans les zones publiques) qui représentaient la violence causée par le SIDA, tout dans le but de récolter des fonds. Il travaille aussi avec Womanity, une fondation qui vise à donner aux filles et aux femmes qui vivent dans les pays en voie de développement une bonne éducation. De plus, de Basseville s'est engagé politiquement dans la France, son pays natif. Il lutte dans le but d'aménager les villes pour qu'elles soient plus accessibles à ceux et celles qui sont atteints par des handicaps, étant donné que lui-même est handicapé.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Dedicaces 37880 partages Voir son profil
Voir son blog

Magazine