Les autorités laissant éclore un peu partout dans le pays les verrues fascistes du Bastion Social, dont on sait les agressions racistes, les violences de toutes sortes (comme ici à Clermont) et les idées nauséabondes qu’il produit, les camarades du CARA ont décidé de prendre les choses en main. Ils ont attaqué leur local fraîchement inauguré à Clermont-Ferrand :
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.. Le journal local ose appeler ça un « fait divers » ? Non, c’est un fait politique !
Le danger du retour du fascisme est bien réel, à considérer ce qui se passe à Chemnitz par exemple, mais pas seulement. Doit-on attendre d’en arriver là, c’est à dire quand il est trop tard, pour agir, et montrer à ces racistes/sexistes/xénophobes/islamophobes/homophobes qu’ils ne sont pas les plus forts ? Qu’ils ne sauraient se comporter comme ils le font actuellement avec un peu trop d’impunité générale, rendue possible par un ministre de l’intérieur flirtant avec leurs thèses xénophobes ? Assez de palabres inutiles, leur toute puissance devait trouver une limite. Nous sommes l’antidote.
Et aux bonnes consciences et aux politiquement corrects qui me rétorqueront qu’on ne saurait réagir à la violence par la violence, je réponds que le moment est venu pour moi, antifasciste autonome, de refuser de la condamner, compte-tenu de l’ampleur du sinistre anti-démocratique. On ne combat pas les fascistes avec de bonnes paroles moralisatrices et des free-hugs, mais par des actes, bien concrets.
Jeu de briques
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