ces gens qui dégueulent sur #ClementMeric… Archivés. #antifa for ever

Explications ici

A l’heure où se déroule le procès des assassins de Clément Méric, je suis sidéré par le fait que des gens soient à ce point emplis de haine, d’absence de valeurs morales et de considération pour la mort de ce jeune homme, au point d’aller dégueuler leur rejet catégorique de la moindre once d’humanité… Bien que j’aie pris la peine et me soit fait violence pour étudier dans le détail la manière dont se forment ces mouvements de haters sur le net, mon incompréhension est totale : comment peut-on se réjouir publiquement de cette mort tragique, en y ajoutant de surcroit la honte de leur crachat ? Voilà ici, précisément, l’essence même du fascisme, cette délectation morbide,  idéologisée, en pure haine du gauchisme, de la démocratie, de la liberté de penser, et de notre pourtant si nécessaire humanisme commun… jusqu’à ne plus même respecter la vie, et donc la mort, preuve de leur abjection. Il y aura donc à partir d’aujourd’hui ceux qui se sont mobilisés pour Dreyfus….  et ceux-là,  qui se lèvent pour Esteban… le bras tendu. On sait donc à présent à quoi s’en tenir sur la contrition et la repentance de ces individus haineux, violents, multi-récidivistes de droit commun  : ils ne regrettent rien, et même approuvent, et revendiquent. Il n’y a rien à en attendre, si ce n’est de les voir se vautrer durablement dans leur vomi et leurs excréments verbaux. Pur bullshit.

On ne discute pas avec le fascisme : on le combat. Alors, aujourd’hui, Gauchedecombat ou plutôt Mister GdeC est en mode ERASE…

Les fachos, vous voilà imprimés ici pour la durée des internets dans votre fange immorale. ça vous apprendra. (Je souhaite une postérité particulière à un certain Nicolas Moreau que j’ai l’heur de ne point connaitre, et j’en suis fort aise.)

… et une fois de plus, je ne peux que déplorer l’absence affligeante de modération sur ce réseau si asocial là, qui laisse se propager aussi impunément des appels à la haine, des incitations aux meurtres, de la délectation de la mort de l’autre, sans la moindre sanction.