Et si on se posait, pour parler de Lily? C’est un groupe qui vient d’Ile-de-France.
- Comment vous présenter à nos lecteurs ?
Bonjour nous sommes Lily, jeune groupe de post folk de la région île-de-France. On écrit en français et on aime faire du bruit sur scène.
- Pourquoi « Lily » comme nom de scène ? Comment vous êtes-vous rencontrés ?
Lily est une femme qu’on incarne au travers de nos chansons et qui est une sorte de fil conducteur narratif de nos concerts.
C’est un prénom qui se comprend dans toutes les langues, qui est universel, et c’est aussi le titre d’un morceau du premier album de The Dodos, qui est une grosse inspiration pour nous.
- Comment vous êtes-vous rencontrés ?
On jouait depuis septembre 2016 à quatre avec Clément notre ancien bassiste et on venait tous du même lycée dans le 91.
Puis en avril 2018 Clément a quitté le groupe et on a recruté Alphonse à la basse et Nicolas en deuxième guitariste qui viennent du 92 et du 94.
- Etiez-vous déjà dans la musique avant de former le groupe ?
Oui, Grégoire (guitare) et Marie-Lys (chant) jouaient dans un groupe au collège et au début du lycée et Lucas (batterie) avait un groupe de son côté aussi. Alphonse et Nico jouent ensemble depuis longtemps dans le groupe de post-rock Broken Cash Machine, toujours actif.
- Comment la musique est-elle venue à vous ?
On a tous commencé la musique au conservatoire, à des âges différents, sauf Nicolas (guitare électrique) mais on n’a pas tous été inspirés par la même chose.
Par exemple, Grégoire (guitare folk) a eu envie de monter un groupe et de jouer sur scène après avoir vu The Districts en concert pour la première fois et Marie-Lys voulait rassembler ses passions pour le chant, la danse et le théâtre dans l’univers scénique du projet Lily.
- Avez-vous des influences musicales ?
L’idée à la base était de mélanger le son et les techniques de guitare folk avec la puissance et l’atmosphère du post-rock, à la Mogwai ou The Districts dans une variante plus rock alternatif, quitte à être carrément bruitistes. Pour le côté rock francophone on s’inspire plus de Thiéfaine ou de Feu! Chatterton.
- J’ai découvert votre univers avec le Clip « Le Monde à L’envers » : pouvez-vous nous en dire plus au niveau du déroulement du projet, des inspirations, …?
Le monde à l’envers a été composé par Grégoire et écrit par Marie-Lys. Ce sont des paroles assez surréalistes qui décrivent des aventures oniriques virant au cauchemar.
Avec le clip on voulait mettre en image l’atmosphère incohérente et changeante qu’on trouve dans les rêves, des gens étranges et des objets qui sortent de nulle part comme dans un cabinet de curiosités. En fait on essaie d’évoquer des images par le biais de la poésie, un peu comme dans une peinture.
- De futurs projets ? Y aurait-il des événements auxquels on pourrait participer ?
Notre premier album, entièrement auto-produit, Somnambule, sortira d’ici la fin d’année. Le Monde a l’envers en est le premier extrait.
Il est disponible sur Bandcamp et sur toutes les plateformes de streaming. C’est notre premier gros projet on a hâte de le voir prendre vie.
9. ÉVÈNEMENTS
On vient tout juste de faire Rock en Seine grâce au tremplin Première Seine et à l’Empreinte de Savigny-le-temple.
Sinon on fait la première partie de Pogo Car Crash Control le 19 octobre au Chaudron du Mée-sur-Seine (77) à côté de Melun.
10. MOT DE LA FIN
Restez hydratés et curieux!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble