" Le niveau d'impôt finit toujours par affecter l'entrepreneuriat, qu'il s'agisse de l'impôt des particuliers ou de celui des entreprises. Des politiques publiques de concurrence, d'allègement fiscal et d'ouverture des frontières, ainsi qu'un faible niveau de réglementation, sont des façons efficaces d'encourager nos entrepreneurs sans que cela coûte plus cher aux contribuables ", conclut Michel Kelly-Gagnon, président et directeur général de l'IEDM.