Hello l’ami.e, et si on se posait pour parler des Trans Musicales ?
Nouveau depuis 1979
Les Rencontres Trans Musicales de Rennes sont vite devenues bien plus qu’un festival. Et, avec l’Ubu dans l’aventure comme nouveau terrain d’action au quotidien depuis 87, elles ont changé leur manière de se penser, de se mettre en oeuvre et de se vivre.
Alors aujourd’hui, nous actons cette transmutation particulière où deux n’en font plus qu’un. Le festival et la salle au service d’un même projet où nous explorons la musique, curieux de tout ce qu’elle peut nous apporter, avec cette conviction que l’inconnu vaut toujours la peine d’être vécu et que le futur se décide au présent.
Et, tout simplement, pour dire ces convictions autrement, notre nom : LES TRANS !
J’ai découvert ce festival par le biais de Brook Line, découvert auparavant lors d’une interview. Je n’en savais pas plus que toi, mais cette conférence m’a permis de voir l’état d’esprit depuis 1979.
Chaque édition n’a pas eu de programmation préméditée, avec la même ambition, celle de donner envie d’en savoir plus sur des artistes en émergence, de faire les rencontres des publics et leurs artistes.
Point fort : on apprécie la Trans Music Maps, qui fait voyager dans toutes les programmations des Rencontres TransMusicales de Rennes. Un travail investi en collaboration avec Klaxoon.
Une programmation multiculturelle ?
La programmation complète du festival a été dévoilée en Conférence de presse (septembre 2018) : il faut s’attendre à des 40e Trans Musicales passionnantes, enthousiastes, comme la toute première. Mais ce qui m’a d’autant plus étonné, c’est de voir plus de 25 nationalités présentes à cet événement. Impressionnant!
Nous aurons des artistes comme Pongo et son Kuduro modernisé, Bafang qui t’emmèneront à Yaounde, Disiz La Peste qui nous fera sûrement « péter les plombs », Aloïse Sauvage et son hiver brûlant.
Programmation complète : Rencontres TransMusicales
Fiche artistes : Artistes A-Z Trans
Mon avis personnel
Il n’y a pas de limites dans la musique. Et c’est une démarche que je salue chez Les Trans. Le Festivalier curieux va se régaler! Si j’étais sur Rennes, crois-moi : j’aurais passé les 3 journées sur les lieux du Festival. En plus d’avoir des artistes français issus de régions différentes, J’ai été surprise mais ravie de découvrir des artistes de la scène Africaine, comme Pongo qui nous vient de Luanda. Rien qu’en écoutant la programmation, j’ai cru voyager dans le monde entier : chapeau.
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