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Histoire de rien

Publié le 02 novembre 2018 par Réverbères
 Histoire de rien FMG©2018
L’avantage de tenir un blog généraliste, c’est que je peux y parler de tout et de rien. Aujourd’hui, ce sera plutôt de rien, ou de pas grand-chose ! De plaquettes de médicaments ! La photo illustre deux plaquettes, toutes les deux du même médicament que je prends quotidiennement depuis des années et qui m’accompagnera jusqu’à la fin de ma vie ! Inutile de faire un dessin, la photo parle d’elle-même : il y a des différences entre les deux plaquettes. Banal ? Pas tout à fait.
Il se fait que la quantité de pilules que je dois prendre varie avec le temps, ou du moins avec le taux de coagulation de mon sang que je fais donc vérifier périodiquement. En ce qui me concerne, cela varie entre deux ou trois comprimés par jour, avec des rythmes différents. Cela peut donc être 2-2 (deux chaque jour), ou 3-3, ou 2-3, ou 2-2-3, ou encore 2-3-3… Retenir le rythme actuel (2-3) n’est pas une difficulté. Savoir quel jour je suis dans le cycle l’est un peu plus !
Avec la première plaquette (ancien modèle), c’est assez facile : en allant de petites lignes en petites lignes, je prends par exemple 2 comprimés d’une ligne un jour et le lendemain j’en prends trois. Au bout de 7 jours, cela donne ceci et il me suffit le 8e jour de prendre les trois pilules restantes, sans avoir jamais dû réfléchir.
Histoire de rien
Avec le nouveau modèle, c’est bien moins évident ! J’ai dû inventer un système comme celui-ci, mais qui ne me satisfait qu’à moitié !
 Histoire de rien
Ça permet en tout cas de délimiter clairement les jours à 2 ou à 3, mais c’est moins clair pour la fin de la plaquette.
Bref, je me demande bien pourquoi ils ont décidé subitement de changer de modèle de plaquette en augmentant le risque de mauvais dosage pour des personnes séniles comme moi. Cela dit, quand j’ai commencé à prendre ce médicament – il y a très longtemps – il était vendu dans des petits flacons contenant 100 comprimés en vrac. Mais j’étais jeune !
Comme quoi, même quand on n’a rien à dire, on peut l’écrire !

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