L’élection de Bolsonaro comme président du Brésil, c’est l’extrême droite radicale, la haine raciale des femmes et des libertés, qui s’installent au pouvoir.
Cet homme a osé dire que « l’erreur de la dictature militaire (1965-1984) a été de torturer sans tuer ». Il a aussi déclaré que la députée du parti des Travailleurs, Maria do Rosario, « était trop moche pour qu’il la viole », enfin à l’adresse de Lula da Silva, président du PT, il lui a promis : « vous allez pourrir en prison ».
C’est aussi cela le fascisme !.
Section de Sète du PCF