Ce sont des inconnus, comme ce chanteur dont je ne sais rien. Ils reprennent des chansons de chanteurs disparus, dont les droits d’auteur ne respectent pas la création, puisqu’ils réprimeraient plutôt ces reprises. Ces oeuvres vivent en eux, ils vibrent en les interprétant, et Jaques Brel est vivant, il continue son éternité en d’autres, avec d’autres voix, d’autres accompagnements, bien loin des embaumements officiels.