Après les tirades tout aussi ridicules que maritimes de son employé Edouard, Macron de Bruxelles s'est essayé aux comparaisons équestres. Pas mieux !
De Bruxelles où il se balade (il n'a que ça à faire) Macron a déclaré :
"Nous sommes un pays qui se cabre car nous n'aimons pas le changement imposé"
Vous noterez que Macron fait toujours ses déclarations péremptoires sur les Français... depuis l'étranger. Courageux, mais pas téméraire.
A l'instar d'Edouard, qui ne connaît rien à la navigation "Quand le vent souffle fort, il faut garder le cap " fermez les écoutilles et souquez fort, Macron ne connaît rien à l'équitation et devrait éviter de commettre des déclarations qui se voudraient cavalières mais ne sont qu'ineptes.
En effet, un cheval peut se cabrer pour deux raisons : soit parce que son cavalier lui ordonne, ce qui m'étonnerait en la circonstance.
Soit parce qu'il veut se débarrasser de son cavalier.
Dans ce cas sa diatribe serait justifiée.
Mais je doute fort, là encore, que le but de l'orateur était d'attirer l'attention sur cette éventualité.
Entre un piètre navigateur et un cavalier qui fait tout pour énerver son cheval, et s'étonne d'avoir des problèmes d'assiette, la France est mal barrée.