Seconde soirée Créa dans la boîte ! On a refait le monde des rencontres amoureuses.
Tout le monde est arrivé un peu intrigué. On leur avait dit que la soirée se jouerait sur un format différent, sans leur donner plus de précisions. Ils ne savaient donc pas à quelle sauce ils seraient mangés !
Pffiou, cette soirée a été… intense ! Intense, c’est vraiment le mot.
Je crois pouvoir dire que personne ne s’attendait à vraiment bosser en fait !
La première fois, on avait déroulé le tapis rouge pour les pionniers du service, ceux qui sont arrivés faux en main, prêts à la défriche. Ceux qui ont posé les premiers mots de leur annonce comme on déposerait son étoile sur le trottoir d’Hollywood Boulevard…. Ou presque.
Cette fois ci, à part Miss Leely, l’une des premières minettes du service, tous étaient des bleus
Sauf Laurent de Cours… Laurent… Cours, son blog vous dit peut-être quelque chose ? N’étant pas beta-testeur, Laurent nous a apporté un oeil complètement N-N… neutre et neuf, je viens de l’inventer.
Au menu donc, que du bon : Alex_94, Pompululu (intenable), Idée Fixe, MisterK (sans son bonnet ! Allez voir sa photo), Tazz, Onesque, et Philippe, notre coiffeur chouchou a participé à la séance, dans la catégorie poussin du service.
Une équipe plus réduite, donc moins de bla bla, moins de blagues… et plus de boulot ! Je recrois pouvoir dire que tout le monde était bien lessivé après cette soiro-boulo-créo-magnifico.
Georges a mené, une fois de plus, cette séance de main de maître, et n’a rien lâché. Il a fallu qu’on crie grâce!
Toute la séance a tourné autour d’exercices de destruction-reconstruction du service.
On part, donc, de ce que le service nous évoque en termes de sensations. On pose des mots dessus que Georges retranscrit consciencieusement sur un tableau, en georgien. Une écriture, compréhensible seulement et uniquement par Georges !
Puis, on passe à la seconde étape, la plus drôle mais la plus instructive aussi, celle de la destruction du service. C’est à dire qu’on imagine, le maître mot de la soirée, l’antithèse de Come in my World.
Ce que ça nous évoquerait, comment on s’y sentirait, de quoi le site aurait l’air.
Constats : “on s’y sentirait pas bien du tout”, “on n’irait pas, “ça serait nul”. On part, donc, d’une base solide. Le concept come in my worldien plaît. Ca vous étonne, hein ?
C’est sur cette “ligne verte”, à la frontière de ces deux concepts : ce que le service est et ce qu’il ne doit surtout pas être qu’on a sorti nos pelles et nos marteaux!
On argumente, on échange, on discute, on sue. Des pop-up éclatent dans tous les cerveaux, on imagine, on rebondit sur les idées des uns et des autres, on lâche les moteurs, ça fuse dans tous les coins. On crée ensemble !
Pour sûr, on est p’têt allés un peu loin dans nos délires, nos rêves… P’têt un peu barrés qu’on était. Mais c’est ce riche terreau que l’équipe Come in my World va analyser, et à partir duquel elle va évaluer et extraire les éléments destinés à finaliser le service.
Eh oui, la core team s’entête et signe ! Sur le même mode de co-création qui a permis à Come in my World de voir le jour, les utilisateurs sont désormais étroitement associés à la co-finalisation du service.
Vers 23 h 30, n’étant plus qu’un tas de larves secouées de soubresauts occasionnels, notre fine équipe a refermé ses ailes et s’en est rentrée chez soi.
Je rerecrois pouvoir dire que tout le monde était hyper satisfait (voire auto-satisfait) de cette expérience étonnante : réunir des cerveaux, faire sauter les barrières et les laisser s’envoler.
ps : Les photos de nous en action, c’est ici.