" C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches " (Victor Hugo)
Dans la taxinomie macronienne, le pauvre est montré du doigt de façon récurrente. C'est un invariant de la détestation. Il est celui qui "déconne". Dans ce dernier terme, on peut y déceler, par exemple, qu'il boit. Un alcoolique mondain, joueur invétéré et glandeur nature ne déconne pas lui : il a de l'argent. Un riche peut bien se soûler à longueur de temps comme Depardieu, dépenser son flouze au jeu comme Thomas Fabius, du moment qu'il ne roule pas au diesel ou qu'il ne grille pas des Gitane, il est du sérail, c'est juste une passade. Il n'est pas rien comme l'autre, le glandeur professionnel qui profite du chômedu sans même traverser la rue (en titubant) et touche à longueur de temps les aides sociales coûtant un pognon de dingue.
Ce petit thread décrypte l'origine, chez Macron, de cette détestation viscérale et qui a un besoin inouï d'être proférée - et doncc partagée - à l'envi.
Autre thread sur le même sujet :
Avec Macron c'est toujours la même rengaine :
- Maxime Cochard (@MaximeCochard_) 15 janvier 2019
- Le riche est de bonne foi, innovant, il faut lui supprimer ses taxes et lui donner un droit à l'erreur.
- Le pauvre est fourbe, déconnant, il coûte un pognon de dingue, il faut renforcer ses taxes, les contrôles et les sanctions.