Un flot d'images, toutes provenant de Google Earth, sont juxtaposées ici pour un voyage épilépticoïde. Je suppose que, derrière ce travail de fourmi, se niche un algorithme classant les clichés par ressemblance et analogie. Sinon, quel boulot ! Cela évoque un Koyaanisqatsi 2.0, la vie disparaissant sous un réseau structuraliste de méta données. L'être humain n'y est plus rien qu'un paramètre annexe et - à la limite - superflu. Cette canopée visuelle, si elle fascine par sa virtuosité, nous glace par son absence totale d'humanisme.
Epoch is a visual representation of our connection to earth and it's vulnerable glory.
Our time here is esoteric, limited and intangible.
The fragility which exists in all aspects of life is one thing that is certain.
We are brittle, and so is Mother Earth.