J’en ai déjà parlé ici à deux reprises : là, et ici, évoquant l’agression d ‘un groupe du NPA qui les a rendus si médiocrement célèbres, et pour de si minables raisons… De petites frappes sans intérêt, hormis pour les seuls virilistes à deux balles en mal de reconnaissance, ivres de la toute puissance totalement immature, et asociale, que leur confère l’usage de la force brute. De vulgaires hooligans, quoi. Le politologue Jean-Yves Camus, qui s’est spécialisé dans l’observation de l’extrême-droite, leur taille un costard à leur (petite) mesure ici, en ces termes :
je ne peux que confirmer l’absence à la fois de culture et de réflexion, ne serait-ce que par leur appellation, comme je l’ai déjà évoqué dès le premier billet dédié. Des bas de plafond dont le seul argument est un coup de poing dans la gueule, en s’en prenant à leur victime à terre de surcroit, méthode de lâches, juste. Aussi, ravi que ce compte twitter en ait démasqués quelques tronches… La vermine fasciste doit avoir des noms, et des visages. Pas de pitié pour les ennemis de nos libertés.
Et je repense alors à ces bonnes âmes dont je rencontre régulièrement la pensée tellement noble, de si haute valeur intellectuelle et morale ajoutée, sur tel ou tel réseau (a) social, qui me conseillent invariablement, plutôt que de les prendre de manière aussi frontale que je ne le fais ici, ce qui serait selon eux contre-productif, de discuter avec ces fachos pour les ramener dans le droit chemin, en tentant de les convaincre avec des arguments bien sentis… Bien sûr, bien sûr. Avec ce genre d’individus sans foi ni loi, sûr que ça marche, tiens. Pur bullshit à mes yeux. Vous ne savez pas de qui vous parlez. Vos conseils de bisounours boutonneux, gardez les pour vous, ça ne fait juste que m’énerver. Sans intérêt en termes d’efficacité dans le combat que je mène ici. Proposez autre chose, merci, et ne me faites pas perdre mon temps. Next.