Les médias qui bénéficient de subventions publiques devraient soumettre à « des garants » la teneur des informations afin d’obtenir leur aval avant de les diffuser.
Ce contrôle étatique pourrait très vite déboucher sur l’interdiction de publication dès lors que l’article incriminé ne serait pas du goût du pouvoir.
Cette menace est réelle, le gouvernement a déjà promu la loi sur la protection des affaires (juillet 2018) détricotant la loi qui encadre la vie de la Presse (29 juillet 1881) 138 ans.
Et puis il y a la perquisition chez Médiapart, le 4 février 2019, sur l’affaire Benalla.
Museler la presse et la liberté d’’expression, c’est le début de la dictature !
Section de Sète du PCF