Quand celui que l’on tait prend enfin la parole,
On le frappe encore,on lui dit qu’il a tort,
Mais son courage au bout de sa voix devient plus qu’un symbole,
Ses mots ou la vérité telle une nécessité en cette réalité.
Quand celui que l’on tait prend enfin la parole,
On le frappe encore,on lui dit qu’il a tort,
Mais son courage au bout de sa voix devient plus qu’un symbole,
Ses mots ou la vérité telle une nécessité en cette réalité.