Rétablissement de l’impôt sur la fortune, une question de principe, de cohésion et de justice

Les Socialistes sont toujours là, motivés et convaincus qu'une structure politique demeure nécessaire, sinon pour faire émerger des idées et des projets, du moins pour les porter et les concrétiser. En présence de Jean-Louis Bricout et de Jean-Jacques Thomas, Stéphane Bizeau l'a, d'ailleurs rappelé, mais, il a, également, souligné la nécessité de mettre son énergie dans le combat d'idées. Tel est, du reste, le but de la plateforme créé par le Député thiérachien afin de faire émerger les priorités, " sans a priori, ni sectarisme ". Faire de la politique, expliqua en substance le Maire d'Hirson, c'est anticiper et précéder. Sur la base d'initiatives concrètes, " au plus près du terrain ", il illustra l'action locale " loin des faux-débats et des solutions simplistes sans lendemain ".

" Méfions-nous, dit-il, des choix proposés avec moins d'impôts, mais avec moins de services publics. A coup sûr, les perdants seront ceux qui ont le plus besoin de ces mêmes services, mais qui n'ont pas les moyens de les payer ". Avec Jean-Louis Bricout, les Socialistes hirsonnais ont, ainsi, réaffirmé la nécessité du rétablissement de l'impôt sur la fortune et, donc, d'une meilleure répartition de l'impôt sur les revenus. Sur ce plan, il fut demandé que " ceux qui peuvent plus donnent davantage, et ceux qui peuvent moins, reçoivent davantage. C'est une question de principe, de cohésion et de justice ".

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