Hello les gens!
Quelques jours après ma Tequi chérie, et une semaine après avoir terminé la première saison, me voici avec ma review de la série événement de Netflix, celle dont je n’attendais rien et suis désormais fan, The Umbrella Academy!
Je ne spoile rien, donc allez-y gaiement!
Synopsis
1989. Des dizaines de femmes, qui n’étaient absolument pas enceintes un instant auparavant, donnent naissance à des enfants particuliers. Sir Reginald Hargreeves, un excentrique inventeur, en adopte sept. 30 ans plus tard, la fratrie se rassemble pour les funérailles de celui qui les a élevés…quelques membres en moins, et certainement des tensions en plus…
Fratrie de la loose
Umbrella Academy est donc adaptée d’une série de comics. Et je vois bien l’esthétique de la série sur papier, bien que je suis certaine de ne pas accrocher si j’y jette un œil. Et pourtant, la recette fonctionne terriblement bien sur écran, entre une famille dysfonctionnelle, plusieurs mystères qui s’imbriquent, des pouvoirs badass, et surtout, un BO d’enfer.
Les Hargreeves sont particuliers tout en étant normaux (paradoxe s’il en est), et même s’ils ont tous techniquement le même âge, on dirait que certain.e.s se comportent en ainés ou cadets…
On se retrouve donc dans un monde parallèle au nôtre, finalement, où les super-héros existent, entre autres choses surnaturelles (vous comprendrez), et c’est juste terrible. Te-rri-ble.
And then there were two…and the rest…
Et pourtant… Pourtant, tout n’est pas rose, car au milieu de cela, se cache un GROS défaut. Car certains personnages, beaucoup plus forts que les autres, se détachent naturellement des autres, jusqu’à voler les scènes où ils apparaissent sans aucune considération envers les autres qui, du coup, n’ont presque plus aucun intérêt…
Et ces délaissés manquent donc, sans surprise, de réelle construction. Pour certains, je n’ai pas honte de dire que j’ai zappé quasi systématiquement les arcs qui les concernait eux seuls.
Dans les sept, donc, deux (trois si on plisse les yeux en fin de saison) seulement sont dignes d’une spin-off. Et je la veux, ma spin-off. En Irlande, for fucking reasons. And yes, I do curse.
Thirteen numbers…
Allez, parlons acteurs.
Si on compte, nous avons donc Luther/Number 1, incarné par Tom Hopper, le Billy Bones de Black Sails mais pour toujours et à jamais mon Percival de Merlin. Parce que mes Knights c’est mes Knights.
Diego/Number 2, qui souffre d’un manque cruel d’exposition et qui m’a franchement soulée je dois l’avouer, est lui incarné par David Castañeda.
Allison/Number 3, pareil, a elle les traits d’Emmy Raver-Lampman.
Klaus/Number 4, qui lui, soyons honnêtes, tire tellement la couverture à lui que les autres vont crever de froid la nuit, est incarné par Robert Sheehan, dont je suis tombée amoureuse dans Misfits et dont chacune des apparences me fait glousser parce que CE TYPE EST UNE LÉGENDE IRISH PARFAITE ET CES YEUX BORDEL!!!
Number 5 (qui n’aura d’autre nom que celui-là), le deuxième scene-stealer de cette série, qui est facilement le plus badass de toute la fratrie, est interprété par le jeune Aidan Gallagher qui ira très loin dans la vie, sûr.
Ben/Number 6, présent moins que les autres mais toujours avec pertinence, est incarné par Justin H. Min.
Et enfin, Vanya/Number 7 aura elle les traits d’Ellen Page, habituée des rôles de mutantes après X-Men (bien qu’on ne retiendra QUE Days of Future Past dans son historique, hein, for reasons). Son personnage m’est extrêmement antipathique, sauf dans les derniers épisodes, mais tout s’explique, finalement.
Parmi les autres, je citerai Mary J. Blige; Kate Walsh; Colm Feore ou encore Ashley Madekwe, que des noms que j’étais ravie de retrouver.
En conclusion, The Umbrella Academy est une série d’une esthétique parfaite, avec un rythme et une BO géniaux, et surtout, DEUX personnages qui sont direct arrivés dans mon Top 10 de mes personnages préférés of all time. Voilà qui est dit.
Note: 9/10