Près de la conscience une éternelle science,
Bienheureux est l’être qui en sa conscience entend toujours la voix de l’espérance,
Qui comprend alors de son amour sa divine évidence.
Près de la conscience une éternelle science,
Bienheureux est l’être qui en sa conscience entend toujours la voix de l’espérance,
Qui comprend alors de son amour sa divine évidence.