Demain, j’entreprends la première journée de mes dernières vacances annuelles. C’est une des raisons pour laquelle le blogue roule au ralenti.
La température de samedi dernier était radieuse, j’en ai profité pour prendre du soleil, marcher, lire; j’ai même dormi dehors, comme une marmotte.
Par contre aujourd’hui, c’était le déluge. Des averses, de la bruine, sans arrêt. Nous sommes allés faire une promenade, vêtus de nos imperméables. Pas la moindre brise de vent, une odeur de propreté régnait, ce qui arrive souvent après une pluie diluvienne. Malgré le gris morose, c’était calme et agréable.
Demain, le temps ne compte plus, il m’appartient. Je ne porte plus de montre, les clés du bureau sont cachées, hors de ma vue. Ma période de décrochage débute; je crois qu’elle sera courte cette année et que je pourrai ainsi réaliser quelques petits projets qui me tiennent à cœur. Pour cela, mon esprit doit être libre, inoccupé des problèmes des autres.
Lo x