« Les gaz lacrymogènes utilisés sont depuis 1993 interdits dans le monde en cas de guerre »
André Picot, toxicochimiste, directeur de recherche honoraire au CNRS, rappelle que les gaz lacrymogènes, proscrits dans le cadre de l’interdiction des armes chimiques, restent utilisés en France pour la répression des civils.
Au-delà des, graves problèmes de santé publique, liés à l’exposition aux gaz, c’est bien la violation massive de cette interdiction qui est posée, et contre laquelle il faut se mobiliser.
Section PCF de Sète