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J'étudie... pour le meilleur et pour le pire

Publié le 30 septembre 2007 par La Plume Rousse
Juste une fois, rien qu'une petite fois, j'ai envie de vous dire que ça prend tout de même du courage pour étudier lorsqu'on est adulte. Ce soir, j'aurais besoin qu'un petit ange me pousse dans le dos, ou mieux encore : qu'il me masse le dos! J'aimerais bien qu'un ange me prépare à souper une fois de temps en temps, qu'il nettoie mon appartement, qu'il me fasse un petit cadeau lorsque je termine un de mes travaux...
Deux cours universitaires à la fois, en plus du travail, de mes cours d'espagnol, de mes activités d'écriture, des tâches en «age» (ménage, repassage, lavage...) c'est trop. C'est trop, mais je suis dans le bateau et je dois ramer! Cet automne, tout mon temps libre est consacré aux études. Je vois passer les belles fins de semaine colorées et... bon, j'arrête de me plaindre. C'est mon choix après tout. C'est moi qui veux étudier. Je vise la fin de mon 2e certificat pour le printemps prochain. Je le veux, je le veux, je le veux! Alors, il faut que je continue.
La plupart du temps, j'adore étudier. C'est vrai. Je le jure. C'est seulement que de temps en temps, je fais face à un cours vraiment plus ardu, plus compliqué, moins intéressant. Alors, c'est plus difficile de se motiver à étudier durant des heures et des heures, plutôt que d'aller marcher en faisant craquer les feuilles qui jonchent le sol. Et moi qui adore l'automne!
Je suis une étudiante et je vais le demeurer toute ma vie. Mais comme tous les étudiants je suppose, j'ai parfois envie de faire l'école buissonnière, de regarder par la fenêtre, d'observer le bel oiseau qui fait la cour à sa copine... la nature nous apprend tellement à propos des hommes et des femmes. Tiens, tiens... quel beau sujet d'étude!

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