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Rétro 6VB: Les Roughriders défient les Patriots

Publié le 15 juillet 2008 par Sixverges
Votre classique de ce matin date du 26 novembre dernier, suite à la victoire des Roughriders à la Coupe Grey. L’imaginatif ami Pick s’est dit que les champions de la CFL devraient finalement lancer un défi à la NFL…
REGINA, SK -- À peine remis des festivités qui ont suivi leur victoire sur les Blue Bombers de Winnipeg lors de la finale de la 95e Coupe Gay, les joueurs des Roughriders-pas-d’espace-entre-Rough-et-Riders ont rencontré la presse ce matin pour faire le point. Bien que la plupart des joueurs ait simplement remercié les partisans de leur appui et félicité les Winnipeg pour leur beau programme, certains étaient nettement plus cocky et souhaitaient se faire entendre.
“I need more, I’m still craving victories, blood and Astroturf!” a lancé John Chick, un joueur de ligne défensive qui a sûrement dû se faire casser 'a yeule dans cour de récré à maintes reprises à cause de son nom et qui semble en avoir contre le monde entier, principalement les Patriots.
“We can tear anybody a new asshole right now, and that includes you, Patriots. What? You think you can outsmart us, Belidick? Bring it on, bitch! I’ll punt your girly goatfucking quarterback’s pretty face into next September, Regina-style!”
D’ajouter Chick : “Pussy!”
D.J. Flick, un autre frais avec un nom de clown, en a remis. “We ain’t gonna let anybody disrespect us, man. The whole world is only looking at the Patriots right now but we proved we could beat ANY team. I can guarantee you we could score a shitload of singles against those fuckers.”
Bien qu’il n’ait pas joué durant la finale, Jocelyn Frenette était le seul joueur francophone présent pour répondre aux questions des journalistes du Québec.
“Mets-en qu’on pourrait leu’ kicker l’cul, aux Pats. Y’ont eu d’la misère à battre les Eagles avec A.J. Feeley, penses-tu vraiment qu’y seraient capab’ d’arrêter Kerry Joseph? HA! Tout l’monde buzze ben raide su’ Brady mais Joseph est noir pis y court vite. C’t’une recette de quart-arrière qui a fait ses preuves. Brady aurait dû rester avec les Expos quand y’avait la chance. Y’a l’air d’un cave a’c un ballon d’foot.”
Quand on a rejoint Bill Belichik plus tard en après-midi pour lui faire part des commentaires de c’t’osti d’gang de fous-là, il a marmonné avec sa traditionnelle voix la plus grave au nord de Barry White : “Saskatchewhat? Chick? Flick? Djosslynn Freunett? Goatfucking? Is this Rayzhon Tromblay again?” puis a raccroché.

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