Il était récité à l'ouverture de chaque session. Au nom du laïcisme, il a été question de supprimer cette prière. Devant la réaction des autorités catholiques et orthodoxes, sa récitation a été maintenue. Un ajout de poids a cependant été introduit :
"Le Notre Père sera désormais suivi, à partir de lundi, d'un deuxième moment de recueillement, qui pourrait prendre la forme d'une prière, d'une récitation ou même d'un moment de silence. Le président de l'Assemblée législative ontarienne, Steve Peters, choisira parmi une liste tournante de prières témoignant des croyances autochtone, bouddhiste, hindou, musulmane, juive, baha'i et sikh".