Magazine Humeur
Par conséquent, le système de santé québécois doit réduire sa rigidité administrative et laisser la compétence de son personnel s’actualiser dans un contexte moins centralisé. Autant les médecins sont exempts de contrôles, autant les professionnels non médicaux sont « bridés ». En soi, cela présage une autre réforme difficile, car le caractère protocolaire du système de santé le rend implicitement réfractaire au changement.--- La Presse+