54 000 sur 340 000 (gendarmerie comprise), c'est une hémorragie si on accepte le terme de "saignée" pour l'Education nationale. Ce qui croient qu'il y a des raisons géopolitiques à la réforme de la Défense n'ont qu'à lire les propos de Nicolas Sarkozy :
"Je ne cèderai pas sur cette réforme [et sur] les 54.000 suppressions de postes (...) Je suis obligé de faire ça si je veux réduire les déficits. J'irai sur tous les sites (...) Je ferai le boulot que personne n'a fait avant moi".
Rendez-vous est pris avec l'histoire : en effet, personne avant lui n'aura descendu la France au-delà du 17ème rang des nations en terme d'effectifs militaires derrière l'Algérie et la Syrie par exemple.