
En résumé, les meilleures réponses seront toujours trop faibles et beaucoup trop défensives pour avoir un impact suffisant et mémorable. Au lieu de cela, les adversaires de Trump devraient inverser les rôles et attaquer en premier, en montant des assauts bien plus outrageux que ce que Trump serai capable de concocter.
Son adversaire devrait d’abord le définir en termes injurieux, lui laissant aucun espace pour réagir car il ne s’y attendrait pas. Le ton devrait être si nocif que Trumps en serait assommé et paralysé sur place. Comme par exemple, dire : « Pas mal votre costard, Monsieur le Président, dommage que vous soyez si gras dedans ! ».
Cette approche nécessiterai une préparation approfondie ainsi que l’aide créative des meilleurs humoristes et stratégistes des États-Unis, mais c’est là le seul moyen de neutraliser ce monstre et d’assécher son venin une bonne fois pour toutes. Vous me suivez ?