Bonjour les amis!
Premier article post-vacances made in London, et si je m’étonne encore de découvrir des coins de la capitale anglaise que je ne connaissais pas après cinq visites (après tout, je vais toujours aux mêmes endroits, mamie que je suis), VOUS n’allez pas vous étonner du thème du jour.
Car si je fais revenir mon TFC adoré un peu plus tôt que prévu ce mois-ci, c’est pour ENCORE vous parler de cette mini-série évènement, celle que j’ai déjà revisionné tant de fois que ça frise, et celle qui donne de belles conversations d’avec la Califette June.
Eh oui, Good Omens. Et je spoile, évidemment.
Mon personnage préféré
J’ai dû vraiment réfléchir, parce que j’aime d’amour les deux acteurs principaux et donc, par principe, leurs personnages. Mais il faut bien avouer que Zira est, depuis le départ, mon bébé, un innocent petit oisillon trop trognon qu’il faut protéger à tout prix…
Le personnage que j’ai envie de tuer
Easy. Et d’ailleurs, Jon Hamm joue parfaitement bien les connards. XD
Le personnage qui fait pleurer
Non mais cette scène où Crowley sort de la librairie en flammes et qu’on comprend qu’il pense avoir perdu Zira, c’est juste…….aaaaargh je chiale.
Le méchant que j’aime bien
Je l’avais dit dans l’article de présentation de la série, mais j’adore Ned Dehenny, et Hastur m’a scié la face tant il est génial.
Le personnage qui fait toujours rire
Le mec c’est un Boulet avec majuscule. XD
Le personnage qu’on n’aimerait pas s’il n’était pas joué par lui
Facile auzzzzzzzzzi.
La mort qui m’a le plus frappée (au sens propre)
Il n’y en a pas eu des masses, je pense?
Le personnage le plus canon
You SLUT!
(Bonus pour June: la réponse:
Le personnage qui évolue le plus
Easy, même si je ne suis pas fan de l’enfant du tout…
Je m’identifie à:
Là, j’ai dû réfléchir aussi. A qui s’identifier dans cette série? Pas aux deux personnages principaux, qui sont bien trop parfaits pour être souillés par mon enveloppe charnelle de bas étage… Ni aux anges ni aux démons parce que ce sont de gros connards. Alors, bon, à choisir, Pepper, parce qu’elle est contre le patriarcat.