Assis au fond de sa cellule crasseuse, frappé de doutes, écrasé de chaleur, il ne trouve pas le sommeil. Pareil au moteur poussé dans les tours d’une voiture qui ne parvient pas à monter un trottoir. Il ne peut s’empêcher de penser que s’il était né en Islande, cela ne lui serait pas arrivé.
Mais voler de la glace en pleine journée d’août à Casablanca, cela ne pouvait pas bien se terminer, ni pour lui, ni pour la glace.