Ahhh, lecteurs (et lectrices) adoré(e)s (oui, même toi, là bas au fond !)...Votre serviteur vient d'obtenir la note de son mémoire en master de recherche.
Et votre serviteur, il embrasserait volontiers la moitié d'entre vous tellement il est content (désolé pour l'autre moitié, faudra attendre votre tour...).
Quelques remarques en vrac :
- C'est la première fois que je ne dois pas coucher pour avoir une aussi bonne note à un mémoire (oh, ça va, les rabat-joie ! On peut pas rigoler, non ?)
- Quand je dit ma note, les gens me regardent différemment. Du genre :
"Mince, avec une telle note, ça doit être un intello... Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter, maintenant ? Il va surement penser que je suis idiot(e)."
Du coup, je suis obligé de désamorcer le truc avec une remarque du genre :
"Et maintenant, j'ai décidé de ne plus jamais réfléchir de toute ma vie ! En commençant tout de suite. C'est quoi ton prénom, déjà ?"
- Un "Master recherche en sciences de l'information et de la communication, spécialité Gestion de la connaissance", ça en jette.
Mais c'est beaucoup trop long à dire. Même moi, en le disant, je décroche après "sciences de". J'aurais du faire des maths. Ou de l'éco. C'est plus rapide...
- Mon sujet de mémoire est une intarissable source de rigolade et d'anecdotes :
"La gestion des connaissances dans l'administration universitaire ? C'est une blague ? Non ? C'est de la science-fiction, alors... Moi, quand je me suis inscrit à l'université blah blah blah perdu dans les couloirs blah blah perdu mon dossier blah de bureaux en bureaux pendant deux heures...".
- Quand on a 12 à un mémoire, on le fête au porto. Quand on a 14, on le fête à la vodka. Quand on a 16, on le fête au champagne. Et quand on a au-dessus, on fait quoi ?
J'attends vos conseils, lecteurs (et lectrices) adoré(e)s. Oui, oui, même les tiens, à toi, là bas au fond...
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