Frozen 2 (Ciné)

Princesses et princes en tous genres, rassemblez-vous, et écoutez donc.

Cet article n’est pas fait pour vous. Je vous interdis même franchement de vous dire que Frozen 2 n’est « que » un film de princesses, car en fait, j’ai plutôt l’impression que cette suite était destinée aux parents que le premier opus a traumatisés. XD

Allez, je ne spoile rien, promis!

Synopsis

Quelque temps après avoir dompté ses pouvoirs de glace, Elsa d’Arendale commence à entendre une étrange voix qui l’appelle et l’attire vers la légendaire Forêt Enchantée…

Libérés, délivrés

2013. Le monde et les parents de milliers d’enfants rencontrent Elsa, Anna, Kristoff, Sven et Olaf, ainsi qu’une chanson qui a déglingué des milliards de neurones. Eh bien ce temps est révolu, mes amis!

Car cette suite fait fi du passé (ou presque, hein, faut pas déconner) en étant probablement l’un des seuls follow-up qui soit en fait meilleur que le premier opus. Meilleur en tout: en animation, qui n’a fait que s’améliorer au fil du temps et permet désormais des prouesses techniques; en chansons (plus de traumatismes, promis); en scénario; et en messages.

Car Elsa a été la première princesse (puis reine) à ne pas avoir besoin d’homme dans sa vie, uniquement de sa sœur. Et cette relation est encore plus importante ici, et encore plus touchante si possible.

Car Frozen 2 est aussi, de mon expérience, le seul film qui arrive à montrer qu’une femme, lorsqu’elle est en couple, n’oublie pas pour autant sa famille. Anna est très loin d’oublier Elsa depuis qu’elle est tombée amoureuse de Kristoff, et la relation de celui-ci avec Elsa est d’ailleurs super mignonne.

Sans oublier Olaf qui est encore plus indispensable pour remettre le sourire aux lèvres pendant des scènes de plus en plus dramatiques.

Ce qui me fait dire, comme souvent ces dernières années je pense, que ce Disney est peut-être plus fait pour les grands que pour les petits…

Into the unknown

Casting voix?

En VO, nous avons toujours Idina Menzel en Elsa; Kristen Bell en Anna (et Anna c’est moi, c’est du plagiat); Jonathan Groff en Kristoff (et Sven); et Josh Gad en Olaf.