Dans la série » le macronisme mène à tout à condition d’en sortir », je demande… Joachim Son-Forget. Sauf qu’en l’occurrence, il semblerait que cela mène surtout au pire. LREM, ce parti d’arrivistes notoires, ne semble donc pas représenter franchement une pépinière d’humanistes, et à l’heure où une certaine médiacratie ne se prive pas de souligner haut et fort le transfuge de certaines personnalités de gauche vers l’extrême-droite (alors qu’il s’agit d’un phénomène si minoritaire), je ne vois pas pourquoi je me priverais de faire la même chose envers ce parti. Surtout lorsqu’il s’est si frauduleusement targué d’être le dernier rempart contre l’extrême-droite, alors que celle-ci ne s’est jamais sentie aussi puissante que sous le règne de Macron, et que ce dernier adopte des mesures et se répand dans des discours que le clan lepéniste n’aurait pas renié.
Ledit « député de l’étranger » ex-UDI après avoir été ex-LREM, est en effet en train de courtiser la madone de la fachosphère et patronne de l’école pour bas du front, dans laquelle a officié – il est fort utile de le rappeler à ceux qui ont la mémoire aussi courte que leurs idées – un monstre, le boucher de l’ISSEP…
sourceNe seront étonnés que celleux qui n’ont pas vu ses propos pour le moins discutables sur twitter, dont certains m’ont obligés à le bloquer, et qui n’ont pas regardé tout simplement sa page wikipédia, qui nous révèle entre autre joyeusetés caractéristiques de son humanisme si personnel que lorsqu’il était militant du PS, Il disait « avoir, dans sa jeunesse, admiré « en secret » Philippe de Villiers et la croix de Lorraine11 … Beau parcours dans le n’importe nawak, pour résumer.
La constance, ça s’appelle. Un homme de convictions… variables, et porté par le vent d’un opportunisme que son histrionisme qui se veut spirituel, sur twitter, ne parvient pas vraiment à masquer.