L’organisation patronale est désormais le seul partenaire social à approuver la réforme des retraites.
Le président du Medef, Geoffroy Roux, estime que malgré les points à clarifier, la réforme proposée est un bon équilibre entre la soutenabilité financière et la solidarité.
Il annonce la couleur, le coût de la réforme ne peut être financer par les cotisations patronales, autrement dit par le Medef.
L’enjeu est clair : travailler plus longtemps et faire des économies sur le versement des retraités.
Au bout du bout, c’est la destruction du système de solidarité qui est visé au bénéfice de l’entrée des assurances privées et le fonds de pension côtés en bourse.
Rien n’est plus urgent que faire échec à cette entreprise de démolition d’une des plus formidables conquêtes sociales issue du Conseil National de la Résistance.
Section de Sète du PCF