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Critiques Séries : Into the Dark. Saison 2. Episode 4. Midnight Kiss.

Publié le 27 décembre 2019 par Delromainzika @cabreakingnews

Into the Dark // Saison 2. Episode 4. Midnight Kiss.

Pour le nouvel an, Into the Dark nous offre un épisode très LGBT+ avec un twist slasher du Nouvel An qui finalement sied plutôt bien à la série. « Midnight Kiss » est donc une occasion de nous offrir un slasher différent de ce que l’on a pour habitude de voir étant donné que l’on nous plonge au milieu d’un groupe de personnages LGBT+. Si l’épisode du Nouvel An de l’an dernier n’était pas exceptionnel, et que dans le fond celui-ci ne brille pas forcément, il a au moins le mérite de nous faire une proposition plus efficace. L’épisode exploite alors un visuel plus gore et sexuel que les épisodes précédents, ce qui dans un sens participe parfaitement à l’ambiance d’un bon slasher de seconde zone.

« Midnight Kiss » est cependant pour moi l’un des meilleurs épisodes de Into the Dark depuis les débuts de la série. Il y a ici une proposition originale dans un genre qui l’est pourtant beaucoup moins. Ce n’était pas bien compliqué étant donné que les slashers restent l’un de mes genres de films d’horreur fétiche. Mais ce dont cet épisode manque cruellement c’est d’un vrai twist ou d’une fin qui sort du lot. Forcément avec un tel titre, il fallait s’attendre à ce que celui qui est embrassé en 2015 dans l’ouverture de l’épisode soit le tueur à la fin. Du coup, il n’y a pas vraiment de surprise là dedans si ce n’est l’un des meurtres qui n’est pas commis par le tueur masqué mais par l’un des personnages principaux de l’histoire.

Dans sa configuration, l’épisode suit un schéma assez classique pour un slasher sans trop sortir des sentiers battus. Un groupe d’amis est en danger à cause d’un tueur en série qui rode. Jusque là, rien de très original. Mais la série parvient malgré tout ici à créer un suspense intéressant qui tient le téléspectateur jusqu’au bout sans trop de difficultés. Les personnages sont quant à eux suffisamment intéressants pour que l’on s’intéresse à leur destin et permettent aussi à l’histoire d’avancer de façon plutôt sympathique.

Note : 6/10. En bref, un slasher LGBT+, en voilà une bonne idée et en plus c’est réussi.


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