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Haine de soi : trait culturel ?

Publié le 23 janvier 2020 par Christophefaurie
Apparemment, tous les peuples ont pensé qu'ils étaient "les hommes", les vrais, et que les autres étaient des "barbares". D'où le nom qu'ils se sont donné : "le pays des purs", etc. Ce qu'il y a de curieux avec l'Occident, c'est que cela ne semble pas vrai. La haine de certains s'étend même jusqu'à l'espèce humaine. D'où vient cette idée ?
  • "Bohème" (1830) ou "contre culture" (1960). Phénomène lié à la grande bourgeoisie, mais aussi à l'éducation. Le jeune bourgeois, oisif et éduqué, se retourne contre son père, alors que jusque-là le fils voulait imiter le père (voire prendre sa place). 
  • Religion, qui classe tout en "bien" et "mal", et qui croit en un pêché originel.
  • Forme de parasitisme : le jeune ne veut pas grandir, il veut conserver sont statut d'oisif, et accuse la société de le réduire à l'esclavage ?
  • Dans la culture anglo-saxonne, il existe un culte des espaces vierges. Apparemment, ce serait un des ressorts du mouvement écologiste.
  • Travaux sur les développement durable : le moteur du développement humain serait, en quelque sorte, l'auto agression. En agressant la nature et l'humanité, l'homme produit une réaction de celles-ci qui, par le danger qu'elles lui font courir, le contraignent à être créatif. "Destruction créative".
Mystère. Faut-il s'en inquiéter ? Comme souvent en systémique, l'apparence cacherait-elle des conséquences imprévues, dans ce cas, favorables à l'humanité ? Mystère.

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