Guimiliau. A la découverte du centre d'interprétation des enclos paroissiaux

À partir du 16e siècle, les graines de lin importées de Lituanie, par le port de Roscoff, sont semées dans les sols fertiles de la côte Nord. Le lin, qui sert à la fabrication des crées (toiles de lin du Léon), est transformé dans l’arrière-pays léonard. Les toiles sont ensuite exportées vers l'Angleterre et l'Espagne par les ports de Saint-Malo, Morlaix, Landerneau... De l'Espagne, où sont implantés des marchands français, les toiles de lin et de chanvre gagnent les colonies d'Amérique. 

Enrichis par le commerce du lin mais aussi par l’agriculture, les foires ou le tannage, les notables des paroisses situées au Nord du Finistère investissent dans la construction d'enclos paroissiaux. 

Pour tout savoir sur ces fameux enclos paroissiaux et sur le Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine « Les Enclos » (CIAP) situé à Guimiliau, découvrez l'interview de Morgane Le Baquer, chargée des projets patrimoine et de la médiation culturelle pour le CIAP.

Pratique.
Sur le web, www.ciap-enclos.fr