s
Sans vergogne, celui qui s’est enfui du Japon comme un voleur afin d’échapper à la justice japonaise, réclame aujourd’hui, en plein conflit des retraites, une indemnité de départ de 250 000 euros et une retraite chapeau de 774 000 euros par an.
Pour cela il va saisir les prud’hommes.
Les patrons voyous n’ont pas de limite !
Section de Sète du PCF