Critiques Séries : Empire. Saison 6. Episode 11.

Empire // Saison 6. Episode 11. Can’t Truss ‘Em.

Quelle horreur ! Il est vraiment temps que Empire tire sa révérence car en plus de ressembler ici à un mauvais soap, elle ne sait plus du tout quoi nous raconter. Cookie et Lucious ne sont peut-être plus ensemble mais ils seront toujours dans la vie de l’un et de l’autre jusqu’à leur mort. Ils vont enfin signer les papiers pour leur divorce et ce jeu ridicule n’apporte rien de neuf à l’épisode. J’ai comme l’impression que Empire aurait dû durer cinq ans et qu’elle est sur la saison de trop où elle se répète car elle ne sait plus quoi nous raconter.

Mais la série n’en est pas à son coup d’essai dans le ridicule. Ce n’est pas comme si cela n’avait pas été prouvé dans la première partie de la saison. Les scénaristes semblent préférer les intrigues de seconde zone et ridicules plutôt que des éléments dramatiques réellement forts qui peuvent se reposer sur le talent du casting. Car il y a un casting talentueux dans la série, mais rien n’est fait pour les utiliser de façon juste. Le plan de Tracy en est une de ces idées ridicules sur lesquelles Empire n’arrive même pas à capitaliser pour s’amuser. Car il n’y a rien d’amusant dans la scène d’ouverture de l’épisode si ce n’est le désespoir. De plus, le cliffangher qui nous a laissé sans rien pendant trois mois est résolu dans les premières minutes de cet épisode, comme si ce n’était donc rien d’important et que Empire a d’autres trucs à nous proposer. Mais non ! C’est bien ça le pire, cet épisode ronronne et tour autour du pot sans se soucier de ce qu’ils pourraient vraiment faire d’intéressant.

Sans parler de toute l’histoire de Kingsley/Andre qui donne l’impression que Empire prennent de la mauvaise drogue tant cette partie de l’histoire manque cruellement d’intérêt. Disons que cela n’a pas du tout l’impact voulu si ce n’est celui de décevoir ! Je ne sais pas trop quoi attendre de la fin de la série mais pour le moment j’ai envie de déjà dire au revoir à tout ce beau monde avant l’heure.

Note : 2/10. En bref, aurais-je le courage ?