Katy Keene // Saison 1. Episode 5. Chapter Five : Song of a Winter’s Night.
Et une nouvelle chanson pour Katy Keene ! Je ne sais pas si parfois la série veut me ramener à l’époque de Crazy Ex Girlfriend mais le numéro musical de cet épisode m’a apporté ce que j’attendais de la part de la série. Cependant, Jorge est détestable dans cet épisode. Il pense à lui, à lui et encore à lui. Même quand il casse la machine à coudre de Katy, il semble préférer se soucier d’autres choses que du bien être de son amie. L’épisode fonctionne bien mieux que le précédent avec tous les ingrédients que j’aime dans cette série et notamment ses émotions. Voir Katy parler de sa mère à la fin de l’épisode m’a particulièrement touché. Je suis peut-être trop sensible mais Katy Keene sait comment m’avoir dans ses bonnes grâces.
Cet épisode a beau être un épisode bouteille, il utilise l’espace et les relations entre les personnages de façon intelligente. L’histoire de Jorge qui a vécu avec Katy et la mère de cette dernière, je ne comprend pas comment il peut avoir aussi peu d’égard pour la machine à coudre qui est le dernier lien entre Katy et sa mère. Mais Jorge a aussi une histoire à lui cette semaine avec sa mère qui l’a vu sous les traits de Ginger. Il y a quelque chose qui aurait pu être plus touchant mais c’est Katy Keene qui réussi à délivrer toute l’émotion que j’aime dans la série.
L’épisode donne alors à Lucy Hale l’occasion ici de faire autre chose que ce qu’elle a pu faire avec le personnage précédemment. Katy est portée dans sa vie par l’envie de faire les choses bien et c’est un sentiment super optimiste que j’aime bien. Gloria de son côté apporte elle aussi un petit plus à l’épisode et la série en général. Cela aurait pu être un échec mais cela fonctionne comme je pouvais l’attendre. Au final, Katy Keene sait très bien comment faire pour nous amuser et nous rappeler que ces petits êtres sont terriblement attachants. Après l’épisode médiocre de la semaine dernière, la série retrouve ici mes bonnes grâces.
Note : 8/10. En bref, qu’est ce que je peux aimer Katy Keene.