Aujourd'hui, nous avons la chance d'avoir une nouvelle série Star Trek basée sur The Next Generation. Appelée simplement Picard, l'émission ramène l'un des plus grands personnages de la télévision de tous les temps sur le petit écran, et c'est en fait vraiment bon nostalgique et familier, mais aussi frais et excitant.
Jean-Luc Picard est également apparu dans un tas de jeux dérivés de Star Trek, dont certains que vous avez probablement tout oublié ...
Star Trek: la prochaine génération, une unité finale
Année 1995
Developer Spectrum HoloByte
Ce jeu d'aventure mélange un jeu de pointage et de clic classique avec l'exploration spatiale, le combat tactique et un peu de diplomatie de style Trek. Vous pouvez explorer l'Enterprise-D, partir en mission à l'extérieur et parler à l'équipage dont beaucoup sont exprimés par les acteurs de l'émission télévisée, y compris Patrick Stewart.
Générations de Star Trek
Année 1997
Developer MicroProse
Sorti aux côtés du film du même nom, Generations est un curieux mélange de prise de vue 3D à la première personne et de combat tactique contre des navires. Il y a même des puzzles de style jeu d'aventure. Malheureusement, c'est assez ennuyeux, mais le concept de Picard chassant le méchant Soran à travers la galaxie est un peu intéressant.
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Star Trek: Hidden Evil
Année 1999
Developer Presto Studios
Se déroulant immédiatement après Star Trek: Insurrection, ce jeu est fortement influencé par la série Resident Evil. Cela signifie des angles de caméra fixes, des arrière-plans pré-rendus, un combat de phaser maladroit et de nombreux puzzles obscurs. Picard et Data jouent des rôles de soutien, exprimés par Stewart et Brent Spiner.
Star Trek: Armada
Année 2000
Developer Activision
C'est l'un des nombreux jeux de stratégie en temps réel basés sur Star Trek sortis dans les années 2000. Il incorpore des éléments de l'intrigue de Deep Space Nine, The Next Generation et Insurrection, et s'adapte au moule RTS standard: choisissez une faction, récoltez des ressources, construisez une base, construisez une flotte, puis éliminez l'ennemi.
Star Trek: Armada II
Année 2001
Logiciel Developer Mad Doc
Oui, c'est un autre jeu de combat spatial tactique. Se déroulant six mois après les événements de la première Armada, cette suite voit le retour des Borgs et de Picard utilisant une porte transwarp pour mener le combat vers leurs terrains de rassemblement dans le quadrant Delta. Un RTS de science-fiction solide, mais éclipsé par des jeux comme Homeworld.
Star Trek: Starfleet Command III
Année 2002
Developer Taldren
C'est l'un des trois jeux Starfleet Command, qui sont vaguement basés sur le jeu de table Star Fleet Battles. Cependant, ce fut le seul à mettre en vedette Picard. Dans celui-ci, vous incarnez différents personnages, dont un capitaine Klingon, un capitaine Romulien nouvellement créé et un capitaine de la Fédération travaillant sous Picard.
Star Trek: Bridge Commander
Année 2002
Developer Totally Games
Nous parlons maintenant. Cela reste l'un des meilleurs jeux Star Trek sur PC, vous permettant de vous asseoir dans le fauteuil du capitaine et de commander votre propre vaisseau de la Fédération. Vous pouvez donner des ordres à votre équipage ou contrôler le navire vous-même, et un Picard à la voix de Stewart vous enseigne les rudiments du travail. Je ne peux pas penser à un meilleur professeur.
Star Trek: Elite Force II
Année 2003
Developer Ritual Entertainment
Ce jeu de tir à la première personne est une sorte de suite de Star Trek: Nemesis, un film auquel la nouvelle série Picard a des liens étroits. Vous jouez en tant que membre de la Hazard Team, une unité d'élite Starfleet formée pour gérer des missions à l'extérieur à haut risque. Impressionné par vos compétences, Picard vous invite à servir à bord de l'Enterprise-E.
Star Trek: Legacy
Année 2006
Logiciel Developer Mad Doc
Cet espace RTS (oui, un autre) est remarquable pour présenter tous les capitaines de Star Trek, y compris Jonathan Archer de Enterprise. C'est dommage que le jeu lui-même ne soit pas bon, avec des commandes qui ne répondent pas, des batailles spatiales prolongées et l'absence mystifiante de toute détection de collision.