Dispatches from Elsewhere // Saison 1. Episode 6. Everyone.
Nous avons donc enfin tous nos personnages et « Everyone » est l’occasion de les rassembler comme jamais auparavant. Malgré la distance que certains ont pu créer dans le groupe, Dispatches from Elsewhere veut tout de même les rassembler. Mais cet épisode est l’un des meilleurs que l’on nous ait offert jusqu’à présent. Le concept de la série de se concentrer chaque semaine sur un personnage (bien qu’au fond, cela soit une série avec un casting de groupe), cet épisode est le premier qui ne se concentre pas sur un seul personnage mais sur le groupe que l’on a constitué précédemment. Je suppose donc que cet épisode est ce que Dispatches from Elsewhere peut faire de mieux, puisque le film associe intelligemment tout ce que l’on a vu précédemment pour poursuivre cette chasse au trésor (notamment en allant découvrir les peintures sur les murs expliqués par Clara).
Ce n’est pas un épisode dramatique comme les précédents, mais il parvient justement à sortir du lot grâce à de la malice à faire évoluer l’histoire de façon intelligemment. Tout commence avec une nouvelle réunion entre les cinq membres de l’équipe au diner du coin. Tout le monde semble content de continuer à travailler ensemble et c’est dans ce sens que Dispatches from Elsewhere permet de créer deux équipes, pas très équitables non plus. D’un côté nous avons Janice et Simone (qui sont clairement mes préférées) et de l’autre Peter et Fredwynn. Tous les personnages n’ont pas les mêmes buts. Peter veut retrouver Clara, Janice veut rejoindre le jeu et Fredwynn est toujours là à chercher la conspiration qui se cache derrière toute cette aventure. Le duo Janice et Simone fonctionne si bien qu’il me donnerait envie de suivre une seconde saison mais uniquement avec ces deux personnages. Le pouvoir que les femmes ont ici est vraiment intéressant. J’aime bien Fredwynn et son côté Sherlock aussi, mais ce n’est ps ce que je préfère non plus.
Janice et Simone vont donc aller à l’endroit à Hawkton, quelques minutes avant Peter et Fredwynn. Je dois avouer que la découvert de la peinture de la liberté, façon relique religieuse, était un joli moment au milieu de l’épisode. Mais ce qui fait la force de ce duo c’est le fait que Dispatches from Elsewhere ne se prend pas la tête, mais qu’elle nous offre de jolis moments de vie entre ces personnages. A côté, Peter et Fredwynn sont un peu les charlots du lot, à aller dans des directions qui ne sont pas toujours à leur avantage (quitte même à leur faire déclencher l’alarme d’une voiture). Alors que la série continue son chemin, je dois avouer que je suis plus que curieux de découvrir où est-ce qu’ils vont aller. L’ensemble est ici à son sommet.
Note : 9/10. En bref, Dispatches from Elsewhere a son plus fascinant avec un épisode de groupe.
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