Cet édito d'un journaliste du Media spécialiste de la politique confirme ce que j'écrivais dans mon article "Vers le 11 mai, dans le brouillard", publié juste après le dernier discours de Macron.
Il est tout de même à noter que ce choix, ignoble, n'a pas soulevé beaucoup de remous dans l'opinion.
Sacrifier nos enfants et nos enseignants à l'économie du pays, pour commencer, en arguant que c'est pour le bien des enfants (!) ça n'a pas secoué les Français plus que ça.
Ce n'est pas cette absence de réactions qui va inciter Macron à vraiment changer de politique.

