Tant savent,tant prétendent,
Tant commentent,
Tant jugent,tant condamnent,
Se savent-ils tant manipulés,
Interdits d’approcher la vérité,
Qu’ils s’accordent comme première importance l’éminence de leur conscience,
Pour cette autre et éternelle vérité en leurs pensées,
En leur être pour tout le bonheur de leur paraître,
Pour que perdure ce sourire témoin d’un fort précieux plaisir de vivre.
