En pleine crise sanitaire le gouvernement a annoncé, avec beaucoup de discrétion, le report de « la réforme des retraites », celle de l’assurance maladie, et la mise entre parenthèses du pacte de « cahors ».
Trois textes, trois réformes, symboles de la violence et de la régression sociale, qui s’attaquent, à chacune d’entre elles, aux droits sociaux, au pouvoir d’achat, au service public, remettant en cause les principes de solidarité et de justice sociale et démocratique.
En ces temps de confinement ou le gouvernement tente de « ripoliner » son langage, ces réformes font tâche.
« La rupture » qu’Emmanuel Macron a évoquée dans ses discours, ce n’est pas de reporter à plus tard, c’est d’abrogé purement et simplement ces réformes anti sociales.
Le jour d’après ne peut être le retour au jour d’avant.
Section PCF de Sète