L’avenir du secteur automobile se joue sur la conception de véhicules propres et accessibles.
Fabriquer en France plus d’un million de véhicules « à courte échéance ». Au cœur de ce projet de développement industriel de la CGT : construire un véhicule conceptualisé par les ingénieurs de la maison Renault, mais que la direction refuse obstinément de fabriquer.
Ce véhicule est prêt à être industrialisé. Cette citadine électrique, l’EUS, affiche un prix d’achat inférieur à 15 000 euros, une autonomie de 150 kilomètres, idéale pour les trajets du quotidien et un coût d’usage réduit (consommation d’énergie et entretien).
Le syndicat CGT plaide également pour le développement d’une filière française de batteries en coopération avec les constructeurs Renault, PSA, SAFT et CEA, en proposant le site de Flins qui tourne aujourd’hui au ralenti, et qui pourrait sans délai accueillir cette fabrication.
Enfin cette transition écologique passe également par la relocalisation en France de la production de 350 000 véhicules par an avec l’embauche d’au moins 4 000 CDI.
Section PCF de Sète
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