Mercredi, je suis retourné chez le dentiste pour mon nettoyage semestriel.
Au début, j'étais un peu inquiet à propos de tous les virus Covid-19 à l'affût, prêt à envahir ma bouche et le reste de mes organes, et puis je me suis dit que cela ne pourrait pas être pire que d’aller au supermarché.
Quand je suis arrivé, quelqu'un a prit ma température et comme je suis toujours un gars vachement « cool », on m'a laissé me laver les mains, puis me gargariser avec une concoction capable de tuer un gros rat ; enfin, je me suis assis sur la chaise de torture.
J'étais entouré par une variété de flux d'air étudiés scientifiquement pour protéger le dentiste contre tous les virus que mon corps auraient pu dégager, y comprit tous ceux qui étaient encore inconnus de la communauté scientifique.
Au moment où j'écris ces lignes, je suis toujours en vie et ne présente aucun des symptômes redoutés. D’accord, je ne me sens pas encore tout à fait prêt à flâner sur une des plages archi-bondée de Californie, mais ma confiance dans le retour à la normale est montée d'un tout petit cran !