La dernière étude sur l'hydroxychloroquine publiée par cette institution jadis honorable, qui a provoqué de la part de notre pitoyable "gouvernement" une interdiction totale de l'usage de ce médicament, largement utilisé par la médecine française depuis plus de 50 ans (!) se révèle en fait plus que "foireuse" (selon l'expression du professeur Raoult) mais bien pire, malhonnête.
J'ai réuni plusieurs articles pour appuyer cette affirmation :
1/ Le premier lien est celui du site « L'aile à stick » qui, en dépit de son appellation pour le moins improbable, a attiré mon attention dès 26 mai. La démonstration est impitoyable : Il suffit de regarder qui sont les actionnaires actuels du Lancet pour douter sincèrement de l'objectivité de cette étude biaisée.
Le lien :
2/ Le deuxième lien, fourni par l'Aile à stick, concerne le témoignage de l'ancien rédacteur en chef du Lancet, un excellent connaisseur donc, qui lui aussi fustige le manque d'objectivité, et je reste poli, du Lancet.
Le lien :
3/ le lien de LCI , se fait l'écho des doutes de nombreux spécialistes quant aux méthodes du Lancet.
Le lien :
4/ Contre-exemple : L'Espagne continuera d'utiliser l'hydroxychloroquine contre le coronavirus malgré l'interdiction française et les doutes de l'OMS et suit les recommandations du Dr Raoult à Marseille.
Le lien :
Quant au but recherché par les actionnaires du Lancet c'est comme toujours avec ce genre d'actionnaires, une question de gros sous. L'hydroxychloroquine est vraiment trop bon marché et ne leur rapporte rien. En revanche, le vaccin en préparation devrait s'avérer un énorme jackpot.
Pour ce qui est du gouvernement, qui a réagi en interdisant l'hydroxychloroquine, deux remarques :
Macron a des liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, c'était même un réel conflit d’intérêt potentiel avant son élection à la présidence de la république. Voir "La présidentielle des conflits d'intérêt" ici.
Ce gouvernement, en permanence :
- n'a pas réagi
- ou a réagi trop tard
- ou à contretemps.
Cette affaire de la hydroxychloroquine ne fait que confirmer son impéritie.