Quelle tristesse pour le Midi Libre !

Sous le titre voilà c’est fini, la cheffe d’agence du Midi Libre du lundi 29 juin nous délivre sa version de la campagne électorale, qui pour elle se résume aux petites phrases, aux coups bas, aux agressions verbales et publiques, etc………

Il faut dire qu’elle si connait en la matière, pour avoir donné le la en matière de contrevérités, de mensonges par omission, de propos malveillants à l’encontre de certains candidats et de la seule candidate surtout sauf………François Commeinhes dont elle a eu du mal à cacher son soutien.

Mais dans son « petit » billet, elle se surpasse. Elle n’hésite pas à écrire, je cite : « que les quelques-uns qui s’y voyaient déjà et se prenaient pour ce qu’ils n’étaient pas, sont revenus à la place qu’Is n’avaient jamais quitté en fait, eux seuls ne le savaient pas, la vie politique va ainsi ».

Le cynisme de cette personne, qui utilise son privilège de tenir le stylo, est l’expression d’un profond mépris envers la population sétoise et surtout envers les 9 000 sétoises et sétois qui n’ont pas voté pour François Commeinhes, c’est-à-dire la majorité de celles et de ceux qui se sont exprimés dimanche 28 juin.

Non madame Caroline Froelig, ce n’est pas fini. Votre prétention à considérer que vous dictez le temps de la vie politique et démocratique dans notre ville témoigne une fois de plus de votre ignorance de l’Histoire de cette ville.

Aujourd’hui, demain, les enjeux restent les mêmes pour les mobilisations à venir. Rien n’est fini, tout reste ouvert.

Le pouffre du Brise lames