Motif : le juge de la cour suprême brésilienne a estimé qu’ils propageaient un discours de haine dans le monde entier.
Facebook a également été condamné à une amende de 312 000 euros pour n’avoir pas dans un premier temps respecté cette décision de justice.
Bolsonaro, président de la République après un coup d’état institutionnel, est rappelons-le l’émule de Donald Trump qui utilise lui aussi la haine comme argument politique.
Section PCF de Sète